Certes il faudrait être plus nombreux pour faire douter le gouvernement. Certes une journée de grève reste plus mobilisateur et la FSU l’a prouvée en appelant le 10 février à une grève suivie par un tiers des personnels et à une manifestation ayant réuni près d’un millier de personnes à Orléans.
Cependant, la journée du 19 mars, à l’appel du collectif au niveau académique dont la FSU est partie prenante, a été 3 fois plus mobilisatrice que le 22 janvier à l’appel de ce même collectif !
Le discours démobilisateur de certains de nos partenaires est, pour le coup, lui, contre-productif et la « majorité silencieuse » pour le SNUipp n’existe pas. Chacun , à sa manière, participe à la lutte contre cette politique désastreuse pour l’Education. Le tout étant de fédérer ces résistances individuelles. Le SNUipp et la FSU continueront à rassembler ces forces et appelle à des suites.